L'éclaircie... 6
L'éclaircie vient après la pluie (partie 6) (d'après Kimi)
Un mois passa sans que le tournage ne reprenne puis il fut décidé qu'un nouveau casting serait lancé pour trouver la remplaçante d'Elisabeth Combay qui serait cité dans le générique à titre posthume.
Il était 22 heures lorsque le casting fut terminé et Edward et Marlon repartaient ensemble boire un dernier verre chez Marlon.
Marlon regardait avec insistance Edward, son visage se reflétant dans les yeux bleus du jeune cinéaste, puis, sans qu'Edward puisse effectuer le moindre mouvement, il l'attrapa violemment et l'embrassa. Edward senti la langue de Marlon se frayer un chemin entre ses lèvres et il ouvrit doucement la bouche pour l'accueillir. Tout en l'embrassant, Marlon glissait sa main sur le torse d'Edward à travers sa chemise puis il amorça un lent mouvement vers le bas. Edward attrapa le bras qui était arrivé au niveau de sa ceinture et dit lentement:
-Non, ne fais pas ça.
Marlon le regarda et lui sourit avant de libérer son bras pour continuer sa descente.
-Allons, tu en meurs d'envie, je le sens à travers ton pantalon. Déclara t-il.
Edward ne pu s'empêcher de rougir. C'est vrai, il en avait envie mais en même temps, il craignait ce moment. Cependant, il ne broncha plus lorsque Marlon enleva sa ceinture et commença à déboutonner le pantalon avant de glisser sa main à l'intérieur.
Les baisers se faisaient violence, désormais. Tous les deux s'échangeaient de grands baisers passionnés et de grands coups de langue et rapidement, tous les vêtements furent jetés au sol. Edward était allongé sur le dos sur le tapis du salon, et Marlon continuait à caresser le membre gorgé de sang de son partenaire qui sentait l'excitation monter de plus en plus.
Marlon cessa alors ses baisers et il approcha sa bouche du pénis d'Edward qui, cette fois, se mit à crier.
-Arrêtes ça! Je ne veux pas.
-On va voir ça. Répondit Mr Brown d'un air sadique et il attrapa à pleine main le pénis avant de le glisser dans sa bouche.
Au fur et à mesure des va et vient, Edward se crispait et Marlon profita d'un moment où Edward se détendit pour insérer un doigt dans son anus. Ressentant d'abord une subite douleur, Edward se laissa finalement faire et il demanda même à Marlon d'ajouter des doigts progressivement. Puis, il sentit qu'il allait éjaculer. Marlon avait remarqué la chose et il insista encore jusqu'à ce qu'il sente la chaleur et le goût amer du sperme lui envahir la bouche. Alors il l'avala, sentant la semence visqueuse couler le long de la gorge et recommença à embrasser Edward qui se sentait affaibli, comme hypnotisé. Mais Marlon n'avait pas terminé et il fit se retourner son amant.
-Toi, t'as éjaculé. Maintenant, c'est mon tour. Tu vas voir, tu vas aimer ça. Tu vas même en redemander.
Et il entreprit de glisser son pénis dans l'anus d'Edward où il rentra sans problème.
-T'en avais vraiment envie, toi! J'ai même pas à forcer un peu que je suis déjà à l'intérieur. Déclara t-il.
Il fit tout d'abord des mouvements lents puis peu à peu, il augmenta la cadence. Les deux hommes, ainsi collés l'un contre l'autre, au sol, gémissaient de plaisir et Marlon éjacula finalement. Puis il se retira et secoua Edward.
-Hé! Tu vas te réveiller, oui? Ed'! Debout! Il est 8 heure du matin, faut qu'on retourne bosser!
Edward se réveilla péniblement. Il regarda Marlon et se senti rougir en se remémorant le rêve qu'il venait de faire.
« Allons, tu en meurs d'envie, je le sens à travers ton pantalon »...
-Désolé, marmonna Edward. Je crois que je me suis endormi avant de rentrer chez moi.
-C'est pas grave. Lui répondit Marlon. Je te passerais des vêtements tout à l'heure. Pour le moment, je te laisse prendre une douche, je t'ai apporté tout ce qu'il faut pour te laver.
Edward monta alors dans la salle de bain. Le souvenir du rêve était si présent dans son esprit que son pénis était encore en érection et il se masturba en repensant à cette nuit qu'il avait vécu dans ses songes.
« Tu vas voir, tu vas aimer ça. Tu vas même en redemander »...
Après la douche, Marlon frappa à la porte pour passer quelques vêtements et tous les deux reprirent la voiture en direction du studio. Une longue journée les attendait.
« T'en avais vraiment envie, toi »...
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